Jeanine Áñez demande à l’ONU de se réformer pour faire face à de nouveaux défis
Réflexion sur des défis tels qu’un vaccin pour tous et la relance de l’économie mondiale après l’alerte de la Pandémie de covid-19étaient les points soulevés par la présidente par intérim de la Bolivie, Jeanine Áñez, dans son message à l’Assemblée générale des Nations Unies.
A l’occasion de la 75 ans de création du corps planétaire, Áñez a évoqué dans un discours enregistré “la nécessité de réformer l’Organisation et d’y réfléchir au-delà de la polarisation idéologique”, après les effets que la nouvelle pandémie de coronavirus a causés dans le monde.
Nouveaux défis
Selon Áñez, “il est temps de visualiser le nouveaux défis“, y compris” un vaccin accessible à tous “,” la relance de l’économie mondiale “et” la création de politiques sociales avec un soutien universel “.
Concernant les relations internationales, le président par intérim a mentionné qu’il est nécessaire de «repenser le sens» de ces liens et de la politiques publiques qui émanent d’eux, pour mettre de côté la «polarisation d’après-guerre».
Questions en suspens
<< La Bolivie ratifie son engagement en faveur du programme 2030 pour la développement durable“Añez a fait remarquer dans son discours, qui a duré moins de trois minutes.
Le président par intérim a également évoqué des aspects tels que le “développement de la démocratie”, la protection des droits humains, prendre soin de l’environnement et des droits des femmes et des peuples autochtones dans le cadre des engagements que la Bolivie maintient.
Jeanine Áñez Il a souligné que la Bolivie était l’un des pays qui ont fondé l’Organisation des Nations Unies en 1945 et que “c’est une nation qui est reconnaissante de sa performance et de l’Organisation”.