Les bars en Europe commencent à fermer en raison de Covid

Immergé déjà pleinement dans le deuxième vague de covid-19 dans L’Europe , Les pubs sont de retour dans le Lumière sentir déjà la dalle de restrictions. Certains gouvernements, dans leur lutte acharnée entre la maîtrise de la pandémie et la garantie de l’activité économique, considèrent que, face à l’augmentation des cas, les citoyens pourraient bien se passer de boissons, bien que les hommes d’affaires, terrifiés, se mettent la main sur la tête. . Il n’y a pas d’unanimité dans toute l’Europe Mais des schémas se répètent qui passent, d’abord, à restreindre les heures des bars puis à opter pour une fermeture totale.
Déchiré Paris, le 28 septembre, avec obligation de fermeture des bars à 22.00 heures. Mais le succès est venu le 5 octobre lorsque les pubs et les tavernes les stores ont été abaissés pendant deux semaines par décision du conseil municipal de la capitale française. Les Restaurants sont exemptés de la restriction. Marseille, en particulier en proie à des contagions, a fermé ses portes pendant deux semaines. La liste des villes françaises à barreaux fermés ne cesse de s’allonger lentement: Grenoble, Lille, Lyon, Toulouse, Montpellier et Saint-Étienne.
Il Le Royaume-Uni est parti pour manière identique. À ce jour, les pubs et restaurants doivent fermer à 22 heures dans tout le pays. Mais le gouvernement de conservateur Boris Johnson a décidé aujourd’hui de fermer les bars de la ville de Liverpool, avec 600 positifs pour 100 000 habitants, et dans toute la région, où vivent 1,5 million de personnes. Pas de pubs, pas de casinos, pas de gymnases, pas de salles de paris. À l’honneur, d’autres villes du au nord de l’angleterre, comme Manchester, Liverpool et Newcastle.
En outre, cinq régions d’Écosse, parmi lesquelles se trouvent les villes de Edimbourg et Glasgow se sont déjà rencontrés depuis le 9 octobre pas de pubs, bars ou restaurants. Seuls les cafés qui ne vendent pas d’alcool ouvrent jusqu’à 18h00. Des restrictions s’appliquent jusqu’au 25 octobre dans les bars et restaurants des régions du Grand Glasgow & Clyde, du Lanarkshire, Ayrshire & Arran, Lothian et Forth Valley, où ils ne peuvent servir que des plats à emporter.
A en juger par cette disparité des mesures au sein du pays, il est clair que Johnson Il est favorable à l’utilisation du scalpel pour disséquer les différents besoins afin de nuire le moins possible à l’activité économique.
Bruxelles, sans alcool
La capitale de la Belgique, Bruxelles, a fermé tous les bars et cafés à partir du 5 octobre et pendant un mois. Les lieux où les repas sont servis à table peuvent rester ouverts, mais ces espaces publics pour la consommation de boissons alcoolisées resteront fermés jusqu’au 8 novembre dans les 19 communes de la capitale belge.
Berlin, la capitale allemande, prévoit de fermer les bars et restaurants à 23h00 tout au long du mois d’octobre.
Italie C’est parmi les pays européens qui, à ce jour, n’ont pas imposé de restrictions à leurs activités de restauration et de loisirs. En Italie, le décret qui vient de renouveler l’état d’alerte ne détermine pas sa fermeture, mais il la conditionne à l’évolution de la situation sanitaire.
Madrid, confiné par zones, ferme des bars et des restaurants à 22 heures. Des mesures identiques s’appliquent Hollande et dans le capitale du Danemark, Copenhague, et ses environs.
Les répercussions de ces mesures restrictives inquiètent sérieusement le secteur, déjà blessé après la clôture des mois dans le moment le plus dur du verrouillage printanier. « Avant la fin de l’année, 30% des bars, hôtels, restaurants, discothèques et entreprises restauration de Paris et la région Île-de-France, courent le risque de fermer », a prévenu Roland Héguy, président de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie, dans le journal Le Parisien.