Twitter annonce des mesures pour lutter contre la désinformation électorale

Aux yeux de l’ouragan pour leur rôle fondamental dans la diffusion de la désinformation, les géants de l’internet continuer à prendre des mesures pour éviter de répéter leurs graves erreurs, ou du moins les minimiser, surtout face à l’imminence élections aux États-Unis sur lesquels volent des nuages sombres. Une semaine après Facebook annoncer qu’à compter du 3 novembre veto jusqu’à nouvel ordre annonces sur des questions sociales, politiques ou électorales, ce vendredi Twitter (qui a déjà interdit les publicités politiques l’année dernière) a annoncé qu’il lance mesures pour essayer d’arrêter cette propagation de la désinformation.
Parmi les étapes les plus marquantes, et qu’aucune autre plateforme n’a adoptée pour le moment, se trouve désactiver temporairement de son algorithme la recommandation de tweets de comptes de personnalités politiques et les comptes américains avec plus de 100000 abonnés que le réseau lui-même a marqué comme désinformation (quelque chose qu’il a fait récemment avec plusieurs tweets du président Donald Trump). Dans ces messages marqués sera désactivé les fonctions «J’aime», retweeter ou répondre.
Les modifications communiquées par Twitter auront caractère temporaire mais ils sont conçus autour des élections présidentielles américaines, au cours desquelles montée du vote par courrier au milieu du pandémie suggère que le le décompte des votes sera allongé, en faisant quoi tard à connaître le gagnant.
La crainte que ces circonstances soient utilisées pour inciter à la violence est réel et Twitter a également annoncé que supprimer les tweets qui font. De même, il marquera ceux qui déclarent un gagnant avant tout organisme officiel ou au moins deux médias nationaux respectés qui effectuent des projections électorales et redirigent les utilisateurs vers leur propre page d’information électorale.
Pour freiner la propagation de la désinformation, en outre, le réseau ralentira l’option retweet encourager celui qui essaie de le faire en premier à ajouter un commentaire ou une opinion (bien qu’il puisse choisir de ne rien écrire). Et si un utilisateur souhaite retweeter quelque chose qui a été qualifié de désinformation, il est vous vous souviendrez que vous partagez des informations inexactes.
L’aversion de Trump
Bien que les mesures ils n’incluent pas la suppression de la section des tendances, ce que de nombreux observateurs et critiques ont demandé, les considérant vulnérables aux « trolls », aux « robots » et aux hacks comme ceux qu’ils ont récemment réalisés suprémacistes blancs et les conspirateurs de QAnon, Twitter va intensifier la vérification des données et la tentative de mettre en contexte les sujets qui apparaissent dans cette section.
Au total, les nouvelles étapes plus que possible ils ne seront pas du goût de Trump, Qu’est ce qui ne va pas avec ça 87 millions d’abonnés sur le réseau social. En mai, après qu’un de ses tweets contenant des mensonges sur le vote par correspondance ait été marqué d’une alerte, le président a signé un décret dans le but de limiter les protections aux réseaux sociaux. Lorsque vous tweetez «Section 230!», Vous faites référence à ces protections.